Né en 1983, il a suivi des études en sociologie, en économie et en graphisme. Pendant ses études, il a commencé à pratiquer le graffiti dans des lieux abandonnés ou des friches. Il a laissé sa marque sur les murs de Paris et a également essayé de coller des affiches figuratives. C’est son activisme dans la rue qui l’a amené dans le monde de l’art. Avec des messages intrigants et barres, le street artist Rero surfe avec poésie entre art conceptuel et art urbain. Tout son travail est lié à l’illusion. Ce que l’on voit n’est jamais ce que l’on pense. Pour lui, il s’agit de multiplier les sens de lecture.
Ce que l’on aime chez lui ?
Tout son travail est lié à l’illusion. Ce que l’on voit n’est jamais ce que l’on pense. On aime cette originalité, ce style qu’on ne voit que chez lui.






