Il fut un temps où l’exploit sportif rimait avec un certain état d’ébriété !
Ce qui pourrait ressembler à une farce au premier abord est tout à fait sérieux. L’alcool était un moyen tout à fait réglementaire de s’hydrater.
Il y a de cela une soixantaine d’années, en dehors des points de ravitaillements ‘classiques’, en cas de soif, les coureurs faisaient escale dans les bistrots de village et se désaltéraient de boissons alcoolisées tel que la bière, le cognac ou bien encore le vin de Bordeaux.
En course les coureurs avaient pour interdiction de partager leur bidon d’eau, du coup, l’arrêt au bar du village devenait incontournable (ou presque).
Il aura fallu quelques années et quelques évolutions législatives (entre autre chose) pour que cette pratique disparaisse.
De toi à moi, il faut bien reconnaître que terminer le tour de France avec un bon verre de Pessac à la main, ça devait avoir de la gueule !